Les phrases du roman sont d’une minutieuse précision, et il faut parfois reprendre son souffle tant on perçoit la souffrance de l’enfant. « On m’a touchée alors que ça me gruge comme des dents empoisonnées. » (…) Surtout, le récit nous ouvre à une autre logique, qui nous fait aussi sourire. Quand on s’accroche dans les fleurs du tapis, il n’y a qu’à l’arracher, non ?… Pourquoi alors ça fait hurler maman ?
Josée Boileau, Journal de Montréal